Friday, July 27, 2007

On peut pas vivre sans famille. Il y a une mot presente dans tous les films de gatlif, la musique tzigane c’est l’incarnation de ce mot. C’est peut-être pour ca que j’y suis dedans et qu’elle me saisit le coeur et me bouleverse les conduits lacrymaux. A chaque fois. Peut-on se sentir tellement chez soi dans une maison prive de murs, de plafond et de plancher?

Déraciné.

On a vu les Kočani Orkestar dans un parc, et c’etait toute une vie dans une note dans le marriage d’une trompette et un trombone dans les joues qui se gonflait et les ventres gros des musiciens souriants avec les yeux tristes.



one cannot live without family. There is a word present in all of Gatlif’s films. Gypsy music is an incarnation of this word. It’s maybe for this that I feel embedded in its core as it grasps my heart and overwhelms my tearducts. Each time. Is it possible to feel so at home in a house without walls or roof or floor?

Déraciné.

We saw Kočani Orkestar in a park, and there was an entire life inside a single note held in the wedding of trombone and trumpet in the curve of the air filled cheeks and the prominence of balcanic bellies of smiling sad eyed musicians.

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