Monday, November 08, 2004

le trop analyser des choses peut etre dangereux pour l’esprit. Cette façon referentielle de regarder le monde suffit jusqu’à un certain point. Àpres il y a le probleme de vouloir forcemment comprendre ou mieux, forcemment contextualiser ce que ne peut pas être contextualisé. Il faudrait retrouver une simplicité de voir, enlever la necessité des contextes, des references, de citer noms et prenoms, textes connus et inconnus, pour dire des choses qui enfin ont pas besoin d’être repetées. depuis le debut du pensée philosophique et peut etre litteraire la vision a eu un role supreme dans l’epistemologie, dans la connaissance des choses. toujours liée avec la raison, la supremacie (mon francais est terrible, terrible!) de la vision a eu des consequences parfois negatives dans notre relation avec le monde. et je vois maintenant que peut etre il faudrait separer la vision de la rationalité supreme, et adopter une façon differente de regarder. d’ adopter un regarde qui a pas comme point de depart le devoir absolument comprendre ou categoriser le monde exterieur : l’etre dans le monde au place de l’etre et le monde. mais merlau-ponty avait déjà parlé de ça, et bien d’autres avec lui.... et voilà je me retrouve victime des mes propres raisonnements... quand tout ce que j’aurai voulu demontrer cest la necessité de retrouver, par rapport à l’épistemologie, la simplicité d’un enfant en façe au monde, toujours nouveau. mais ca c’est impossible... (pardonnez moi pour avoir telment defiguree, dans cette morceau de pensees prive d’aucun sens, cette belle langue, qui m’appartient pas mais que j’adopte parfois pour la pratiquer.)

No comments: